Dans l’instantané précédent, nous avons vu que les discussions au sujet du caractère volontaire ou non des actions humaines apparaissent dans un contexte de sécularisation judiciaire. Aristote n’emploie pas alors précisément le terme de volonté, il a recours à quatre notions non unifiées conceptuellement1 : ‘ce qui dépend de nous’ (eph hêmin) ou ce qui est…